NDLR : Ça fait une semaine que je me demande si je publierai ou non ce billet…
Mise en garde : cœurs sensibles s’abstenir.
Après ce billet, je pense que j’aurai révélé le maximum de mon moi profond. Je n’aurai plus aucun secret pour qui que ce soit. Que personne ne dise que je n’ai pas tout mis de ma personne sur ce blogue.
Nos grand-mères appelaient ça « avoir ses affaires de femmes ». J’ai eu les miennes la semaine avant la semaine dernière. Commencé en milieu de semaine, fini dimanche/lundi. En tout cas, le mardi, c’était fini. Trois semaines de paix en vue. Mercredi matin, je me lève, c’est une belle journée, et je me pose LA question existentielle qui fait partie de ma routine du début de journée depuis que j’ai l’âge de me poupouner : «Qu’est-ce que je vais porter aujourd’hui?». Y a mon petit pantalon 3/4 blanc qui me fait un clin d’œil, je me dis qu’avec mon nouveau chandail en tricot bleu/vert, ça va faire frais, été, alors va pour le petit kit en question. Détail intime numéro un : quand je porte un pantalon, blanc de surcroit, mon choix de dessous se porte sur un thong (si, si, il s’en fait dans ma taille et c’est plus confortable qu’on pourrait penser), pour éviter les marques apparentes de sous-vêtements. Même si mon chandail passe par-dessus et que rien de se voit de toute façon. C’est une des règles de base de la parfaite coquette : quand on sait, on se sent. Et ce détail, bien qu’en apparence anodin, a son importance, ici. Donc, mercredi matin, fin du rituel de beauté, café en vitesse, déjeuner sur le pouce, départ de la maison, arrivée au bureau, ouverture de mon poste de travail et… drôle de feeling… J’avais bien fini, il me semble!!
Je me dirige vers salle de bain qui, pour la petite anecdote, se trouve à l’autre bout du corridor, en dehors de notre bureau, avec un étrange pressentiment. HORREUR! C’est reparti pour un tour, et pas un petit !! J’ai une tache d’une couleur on ne peut plus identifiable, de la taille d’une feuille d’imprimante pliée chiffonnée en deux, juste là. Pa–ni-que totale. Bon, relaxe, que je me dis, on va essayer de voir s’il n’y a pas moyen de limiter les dégâts… Commencer par prendre la serviette de secours que j’ai toujours dans le fond de mon sac à main. (Ah, merde, j’ai un thong, ça ne va pas être commode!) Installe ladite serviette, la fixe en place tant bien que mal au moyen les ailes repliables autour du thong, recollées l’une sur l’autre. Un problème de patché. Mais le reste ne va pas aller; mon pantalon est bien trop taché, je vais essayer de nettoyer ça, mieux vaut un pantalon mouillé qu’un pantalon taché… Direction lavabo (heureusement, il est juste devant la toilette), j’essaie de rincer la tache… Arrgh! Je n’avais pas pensé que ça changerait la couleur de l’eau qui, elle, continue de couler allègrement sur le reste du vêtement. Maintenant j’ai un pantalon bigarré, du rouge au blanc rosé, avec une jambe plus bigarrée que l’autre. À la guerre comme à la guerre! Je trempe l’intégralité du pantalon dans l’eau, dans une tentative désespérée d’uniformiser la couleur de mon uniforme de femme vraiment mal prise. Je tords bien et réenfile le truc, parce que bon, me promener les fesses nu-tête en pleine métropole, très peu pour moi (et pour les autres aussi, même s’ils ne le savent pas).
Je retourne dans le bureau (swishh, swishh, swishh), j’avertis le pusher de vitamines que je dois absolument m’absenter pour me rendre au Addition-Elle le plus proche et que je reviens dès que possible. Je pars – en taxi, parce que ma voiture est trop éloignée et que je tiens mordicus à ne pas me promener trop longtemps dans ces conditions (lire : en public). Petite remarque, c’est fichtrement long, 10 minutes, quand on est assise du bout des fesses sur le bout d’un siège de voiture pour ne rien tacher. Arrivée au magasin, je me rive le nez à une porte fermée (évidemment), ils n’ouvrent qu’à 10h, dans 20 minutes. Et un éclair de lucidité me frappe, je n’avais qu’une seule serviette de dépannage. Bon, il y a une pharmacie dans le centre commercial de l’autre côté de la rue, et peu de gens sur le trottoir. Je fonce (swishh,swishh,swishh).
Pharmacie-où-on-trouve-de-tout-même-un-ami : Pas commode, une pharmacie inconnue. Sont où, les fournitures féminines? Accroche un commis qui a tout le mal du monde à me regarder dans les yeux, qui me dirige dans la bonne allée (et qui du coup, comprend la raison de mon étrange allure). Bon. Pas un choix à tout casser ici. Ah! Voilà : Incognito (wishful thinking, que je me dis), bon, ça va aller. Je passe à la caisse (acheter un paquet de serviettes hygiéniques avec l’air que j’avais, c’est une redondance visuelle), je paie, je referme mon sac à main en vitesse et je décolle, direction le magasin qui va me sauver, sinon la vie, au moins la face. Mais dans ma précipitation, j’ai mal refermé mon sac qui s’ouvre et se répand sur le sol, à mes pieds. (Non mééééé! Il faut vraiment que je me penche pour ramasser tout ça? Shit, shit, shit!!!) Me voilà à quatre pattes, le plus près du mur possible (yeah, right!), à faire faire des étirements musculaires à mes membres supérieurs pour récupérer ces (asti de) petites choses dont mon sac à main ne peut pas se passer. (Je suis sur le point de déchirer ma carte de membre du club girlie, je le jure!)
De retour devant le magasin, il reste 10 minutes à l’ouverture. Comme je ne peux pas rester au milieu du trottoir plantée comme un poinsettia en pot (oui, un poinsettia rouge!), je me colle sur la porte, tentant de me faire la plus petite possible (et quand on sait que Addition-Elle, c’est un magasin pour tailles 14+, on réalise que c’est mission impossible, hein!). Une vendeuse vient entr’ouvrir la porte pour me dire que le magasin n’ouvre que dans 10 minutes. Je lui réponds que je le sais, mais que j’ai une situation d’urgence, tout en soulevant juste un peu le bas de mon chandail. J’allais ajouter que j’étais prête à attendre mais il semble que j’ai eu un argument convaincant (ou que je fais naître la pitié/compassion/peur qu’il arrive pire – biffer les mots inutiles) car elle me laisse entrer. Je monte à l’étage où il y a les vêtements «bureau». Une dame d’un certain âge (ou d’un âge certain) me vient en aide en me proposant tout le stock pouvant me faire qui se trouve sur le plancher. Elle m’offre d’abord une jupe blanche – (Vous savez, je ne suis plus si certaine que ce soit une couleur appropriée, aujourd’hui, avez-vous la même en rouge? ), ensuite 4 différents modèles de pantalons, toute sa compassion, quelques jupes qui font trop «madame» à mon goût et je finis par fixer mon choix sur une robe sans manches, ligne A (a.k.a. : ample à la hauteur incriminante) et, bien entendu, une petite culotte taillée sur un modèle pouvant recevoir et supporter l’équipement de survie dont il se verra confier la mission. La vendeuse retire les étiquettes des vêtements et me conduit à la salle de toilette. J’ai maintenant tout ce qu’il me faut. Incognito, des vêtements de rechange et, en prime, un lavabo avec du savon à mains (pour l’heure, ça conviendra) et beaucoup, beaucoup de papier à mains (qui me servira alternativement de débarbouillette, de serviette, d’essuie-tout pour le comptoir, d’essuie-mains et d’essuie-plancher).
Première étape, laver tant bien que mal tout ce qui a besoin d’être lavé. Vivent les grands miroirs! Ensuite, rhabillage. Me voilà au sec (bébés aux couches, je vous plains et je vous comprends!). Il ne me reste qu’à envelopper les vêtements infâmés dans le sac de plastique gentiment fourni par la vendeuse. Ah, merdouille j’oubliais… Le thong. Pas question de le laisser enservietté comme ça, alors je tire et… rien. (C’est drôlement solide, ces rebords adhésifs…) Je tire un peu plus fort et… voilà!!!! J’ai mon thong dans une main, et dans l’autre un morceau de la serviette qui s’est littéralement éventrée et je me retrouve en pleine tempête de petits morceaux de fibre absorbante qui retombent partout. (Mais pourquoi je ne suis pas restée couchée, ce matin, moi?) Tant pis pour le thong, je l’enroule dans une bonne longueur de papier à mains et je le balance dans la poubelle (pour finir, j’aurais pu faire ça tout de suite…)
Après un nettoyage en règle de la salle de toilette (encore à quatre pattes, décidément), re-rafraîchissement de ma personne, je sors, non sans m’être assurée qu’aucune trace de mon passage ne soit visible, hormis la poubelle (bien) pleine. Revêtue de mes nouveaux atours, j’ai payé, me suis confondue en remerciements envers le personnel qui s’est si gentiment porté au secours de ma fierté, et suis repartie vers le bureau où, bien entendu, m’attendaient une bonne dizaine de dossiers à traiter qui n’étaient pas là quand je suis partie en trombe ainsi que ma patronne toute inquiète qui me demande si tout va bien (parce que la raison qui lui a été donnée de mon absence était que j’avais eu un «gros malaise,» euphémisme s’il en est un…) Je tente de lui expliquer à mots couverts ce qui s’est passé mais elle ne saisit pas, mais alors pas du tout. Un peu plus, et je lui faisais voir la pièce justificative…
Quoi? La couleur de la robe? BRUNE – pour un début de journée merdique…
jeudi, août 17, 2006 at 01:24
On se croirait dans un film 🙂
jeudi, août 17, 2006 at 03:01
suis pliée !!!!! MDR MDR MDR
C’est marrant parce que chez nous les thongs c’est des chaussures d’été du genre de celles où il a juste la semelle et le pti truc à glisser entre le gros orteil et le suivant. …… bref chez nous un thong de chez vous s’appelle un string.
Tu penses bien que je me suis posée la question de savoir pourquoi tu te mettais une sandale LA …. 😉
jeudi, août 17, 2006 at 07:09
J’ai ri de bon coeur même si je sympathise avec toi, ça nous est tous arrivé un jour… plus jamais des pantalons blanc!
jeudi, août 17, 2006 at 07:20
Comme tu dis, il y a de ces journées où on aurait aimé rester couché. 🙂 Au moins tu t’en ai bien sortie et ça te fait une bonne anecdote à compter! 🙂
jeudi, août 17, 2006 at 07:25
Je t’admire Nicole d’avoir eu le courage de le poster! On a toute connu une situation dans ce genre là, mais d’habitude, on essaie de l’oublier. Me connaissant, je n’aurais pas pilé sur mon orgueil! 😛
jeudi, août 17, 2006 at 08:01
Pouahahaha ! 😀 Quel cauchemard ! Sérieusement, y’a des journées comme ça…
C’est bon de se sentir belle et bien dans son slip. En voilà une belle preuve ! 😉
jeudi, août 17, 2006 at 08:18
@Anne-Marie : j’ai hésité etnre thong et string… mais ici, un string, c’est fait avec de la ficelle, du genre «soie dentaire entre les hémisphères»… (et ça, j’en porte pas ;-))
@Annick : hônnetement, je me suis dit que si ça pouvait en faire rire une ou deux, j’arriverais à dédramatiser… et en rétrospect, si je repasse le film dans ma tête mais que je me place dans la position du spectateur, y a effectivement de quoi rire 🙂
@Nap : belle et bien dans son slip… Je la retiens, celle-là 🙂
jeudi, août 17, 2006 at 08:55
Oh mon dieu! Morte de rire… Et morte de gêne, parce que c’est totalement le genre de trucs qui m’arrivent!
jeudi, août 17, 2006 at 08:58
Je n’ai AUCUN pantalon blanc dans ma garde-robe par peur de ce genre d’histoires. J’ai mantenant la preuve que ça arrive pour de vrai!
jeudi, août 17, 2006 at 09:29
Oyoye! Je te félicite! Je serais devenue totalement hystérique après tout ça moi! Retourner à la maison en braillant de colère….
Je note ta réaction pour le cas ou ça m’arriverait!
jeudi, août 17, 2006 at 12:06
Ohhhhhhn. Ohhhhhhn. Re-Ohhhhhn. Quand je manque de mots, comme en ce moment, c’est pour deux raisons : 1) Je ris trop. 2) Je m’identifie tellement à l’autre que la catharsis me scie.
C’est le «2», dans ce cas-ci. J’aurais voulu rire, pourtant, mais j’en suis incapable. Been there, done that. Connais tellement le feeling… Pas la honte, non. Pas la détresse, non. Juste le besoin de peser sur pause, le temps de tout arranger, avec le moins de dégât possible. Sans paniquer, sans se décourager, juste parce que ça doit être fait, et subito, hein !
Ohhhhhn. …et bravo aux madames de la boutique ! Vive la compassion !
Top courage, comme billet Nicole !
jeudi, août 17, 2006 at 16:26
@ Anne-Marie : les chaussures que tu cites sont des tongues… (de plage) C’est ainsi que ça s’écrit…
jeudi, août 17, 2006 at 19:54
Autant le début de ton billet m’a fait réagir (dans ma tête, au bureau) par des « Oh my God, Oh my God, non, non, non », autant en continuant à lire je riais (toujours dans ma tête) mais avec les larmes aux yeux, surtout au passage du « swishh, swishh, swishh ».
Comme je suis très visuelle, j’ai vu toute la scène et je ne peux que compatir avec toi, mais comme je suis aussi très ricaneuse, je n’ai pas pu m’empêcher de trouver ce billet hilarant. Désolée 😉
La preuve de ma compassion, j’ai vécue une situation similaire à l’adolescence, dans un mariage et portant une jolie robe jaune citron. Une seule personne s’en est apperçu mais la gêne et la honte que j’ai ressentis! Je m’en souviens encore comme si c’était hier.
Tu t’es sortie de cette fâcheuse situation avec brio et avec la preuve que le ridicule ne tue vraiment pas.
jeudi, août 17, 2006 at 23:24
[…] Tient Nicole, je t’accompagne! Moi aussi je vais me mettre à nue! Parce que le ridicule ne tue pas, sinon je serais morte depuis longtemps! […]
vendredi, août 18, 2006 at 00:16
My gosh, c’est l’enfer! Quand ça commence à aller de travers, ça n’arrête pu. J’imagine qu’à la fin de ta journée tu voyais rouge!!! Pauvre toi, je comprends tellement ton inconfort! En plus, dans ce temps-là on pense toujours que tout le monde nous regarde lol!
vendredi, août 18, 2006 at 00:27
@Chocolyane : Pour être franche, j’espérais un peu, en publiant, que ça en ferait rire quelques-unes… question de ne pas avoir vécu ça pour rien.
@Eve : en effet, ce n’est pas une légende urbaine.
@Patata : merci de l’appui 🙂
@Intellex : tu aurais pu rire… ça ne m’aurait aucunement fâchée. Mais tu as compris à la virgule près ce que j’ai ressenti et ça, c’est vraiment quelque chose!!
@Humaro : merci de la précision. C’t’idée, aussi, d’appeler une sandale et une culotte par des homonymes…. pffff… 😉
@Lynne : au risque de me répéter – je suis bien contente si ça t’a fait rire. Ça rend la mésaventure pas si inutile, en bout de ligne!
@Isabelle : non, je voyais rouge dès le matin, et pour cause 😉 Et ne crains pas, je ne PENSAIS pas que tout le monde me regardait, je VOYAIS que tout le monde me regardait… c’était comme un peu difficile à ne pas remarquer, mettons…
vendredi, août 18, 2006 at 02:36
@Humaro. En Belgique on l’écrit même Tong 😉
vendredi, août 18, 2006 at 06:32
Ouf, toute une aventure…
Bien contente de n’avoir pas été à ta place :-p
Morale de cette histoire: pas de blanc les jours qui suivent la fin de vos règles!
vendredi, août 18, 2006 at 07:41
@ Anne-Marie : Oui mais les Belges… 😉
vendredi, août 18, 2006 at 08:07
@Humaro : quoi les Belges, hein? Hein?? 😉
(réaction spontanée, mon coeur est resté là-bas :-))
vendredi, août 18, 2006 at 08:16
oué d’abord … QUOI les Belges hein hein hein … Tu veux ma tong où je pense ? 😉 ; ) 😉
vendredi, août 18, 2006 at 08:32
Dans le genre « j’aurais dû rester chez moi », on ne fait pas mieux, en effet ! Quelle début de journée !
On a le droit de rire, malgré tout, en lisant ton texte ? 😉
vendredi, août 18, 2006 at 09:50
@René : pliiiize!!! Be my guest! 🙂
samedi, août 19, 2006 at 13:40
HOLY COW, Nicole! Moi qui me trouvais malchanceuse d’avoir dû rattraper de justesse à main nue un caca mou de bébé qui s’apprêtait à être parachuté de mon côté du lit! C’était RIEN. Merci d’avoir remis les choses en perspectives.
Et c’est quoi l’idée de porter des tongs? J’ai vraiment ri quand je t’ai imaginée tirant jusqu’à ce que ça snappe! 😀
vendredi, août 25, 2006 at 08:21
[…] Je pensais bien qu’il s’appelait Murphy, père de la loi du même nom, celui qui m’a fait vivre le pire début de journée depuis des lustres, tout récemment. Mais non. Je suis tombée par hasard sur le nom du véritable coupable. Il s’appelle… […]
samedi, août 26, 2006 at 13:59
Oh! que je réalise que tes histoires m’avait manquée!
Il y a des jours comme ça…! Vaut mieux en rire, ma belle, comme tu le fais si bien!
mercredi, décembre 26, 2007 at 14:34
Bonjour
En tapant le nom de mon ouvrage publié chez un éditeur je vois que le terme Féminitude me dirige sur votre site. Je vous remercie de bien vouloir ne pas utiliser ce terme FEMINITUDE qui est protégé à l’Institut Nationale de la Propriété Intellectuelle par mes soins. Merci de le retirer rapidement afin de vous éviter tout problème juridique. Monique Grande
mercredi, décembre 26, 2007 at 15:09
Madame pas-si-grande-que-ça : Voilà. J’ai mis un astérisque pour que mon billet ne sorte plus sous le terme-qu’il-ne-faut-pas-écrire-si-on-ne-porte-pas-votre-nom dans les moteurs de recherche. Ça devrait régler la question. Cela dit, je réagis très mal aux menaces, et je ne suis pas tellement sûre que votre Institut national (qui, au fait, ne prend pas de «e», institut étant un nom masculin – pour une supposée auteure, vous devriez savoir ça) ait juridiction au Québec, en particulier si, comme je le pense, votre démarche date probablement de bien APRÈS la date de publication de mon billet. Si on vous demandait à vous de réécrire quelque chose que vous avez déjà publié pour une histoire aussi banale, vous n’apprécieriez pas. Ceci n’a beau être «qu’un blogue» ce sont MES écrits qu’il contient et le principe est le même. Mais comme je n’ai pas nécessairement envie d’entendre parler de vous à nouveau, j’obtempère, rien que pour avoir la paix; le fait de remplacer une voyelle par un astérisque en fait, techniquement, un nouveau mot. Voilà qui, j’espère vous contentera et m’évitera de recevoir d’autres menaces de votre part.
jeudi, avril 10, 2008 at 10:20
Oh Nicole, quelle crise de rire.
Tu racontes si bien que je visualisais parfaitement – même entre les larmes de rire – ton début de matinée en blanc et rouge.
Egalement bien rétorqué Monique Grande, consultante et formatrice dans le domaine de la communication et des relations humaines. ça ne s’invente pas 😉
jeudi, avril 10, 2008 at 20:57
Mijo : c’est bien pour ça que je les relate, ces mésaventures – ainsi si ça égaie la journée d’au moins UNE personne, je n’aurai pas vécu ça pour rien… Contente de t’avoir fait rire!
Et Mme G. – en effet, c’est pas fort.
mardi, janvier 6, 2015 at 14:19
Hurrah, that’s what I was searching for, what a data!
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