Générale


En fin de compte, je pense que je vais rester, du moins encore un peu. Je manque encore d’inspiration, mais ça fait quand même quoi, quatre, cinq années que j’écris ici? Mon histoire n’est pas finie et je n’ai pas encore chanté.*

Hier, Coconut a eu 16 ans. Normalement j’aurais écrit un texte d’anniversaire et l’aurais publié ici, comme je l’avais fait les années précédents. Mais je me suis contentée de lui dire tout l’amour que j’ai pour lui, et combien je trouve que le temps passe vite…. Tic, tac, tic, tac.

* It’s not over ’till the fat lady sings.

C’est la première journée qu’elle passe avec moi et je suis déjà tannée. Je ne veux plus d’elle, je ne voulais déjà pas d’elle en partant, mais… Elle colle, la maudite. Et elle me donne mal à la tête, à force de s’accrocher, comme ça, je ne peux plus la sentir. 

Va t’en, tu comprends pas, quand on ne veux pas de toi, maudite fatigante?

Je ne vais pas m’en approprier le mérite, c’est certain, mais… une pensée comme celle-là mérite une diffusion maximale!

Merci, Hispong!

De quoi ai-je envie de parler, aujourd’hui? Certainement pas de la température estivale, parce que je n’ai pas envie d’en être affectée. Vrai que c’est le fun quand il fait soleil,  mais de là à ajuster mon moral à un baromètre… non merci.

Il y un article pas mal intéressant à propos des conséquences possibles d’un compte Facebook sur un emploi, par ici. Ce qui me laisse penser que j’ai raison, je pense, de trouver déplacés les commentaires qui portent sur la santé intestinale de certains. Mais ça, c’est juste moi.

Il y a deux ans, j’avais écrit un billet sur le sentiment très dérangeant qu’on peut éprouver quand on a l’impression de ne pas exister. Ben bâtard, c’est exactement ce que je ressens à ma nouvelle job. Quand je disais que mon humour, mon sourire, ne me servaient à rien ici… J’ai mis le doigt dessus la semaine dernière. Quand je pose une question, au lieu d’écouter ce que je dis, on pense à la réponse à donner à la question qu’on pense que je pose. Et comme j’essaie d’être gentille, je laisse la personne me donner touuuuute sa réponse, pour renchérir ensuite avec un « merci, c’est utile, mais ce que je voulais savoir, au fond, c’est… ». Quand je parle à ma supérieure et que je tente d’obtenir une quelconque validation, ma question est habilement éludée. Quant aux collègues, mes efforts pour interagir avec elles tombent presque tous à plat. Bon. Ce ne sont pas des justifications suffisantes pour laisser tomber un boulot – le salaire et les avantages ne sont quand même pas à négliger, quand on les compare à une prestation d’assurance-emploi et qu’on pense au conjoint qui retourne à l’école… Je suis une grande fille responsable qui sait ce qu’elle doit faire. J’ai donc choisi l’argent du beurre.

Ce qui risque d’arriver, quand on remet à plus tard ce qu’on a envie de faire, c’est d’oublier de le faire. Voilà au moins deux mois que je me dis qu’il faut que j’ajoute ce blogue absolument délicieux (dans tous les sens du terme) à ma blogoliste, et que j’oublie. Voilà qui est maintenant (et enfin) fait.

Là-dessus, bon lundi!

Et re-zut.

Confit d’intérêt n’est plus, Life a tiré la plogue de son blogue.

Et ça me fait réellement quelque chose, parce que, hormis le fait que ses billets étaient toujours superbement écrits, parfois baveux, parfois émouvants, parfois drôles mais toujours, toujours intelligents et que ça, c’est plutôt rare; son fichu sens du timing lorsqu’il pondait des billets introspectifs assez profonds a fait en sorte que plusieurs de ceux-ci ont porté leurs échos jusque chez moi, m’aidant à trouver des éléments de réponses à des réflexions que je me faisais moi-même sans les partager à personne.  C’est le genre de personne que j’aurais probablement eu plaisir à connaître IRL, l’occasion m’en eût-elle été offerte.

Bonne continuation, Life Saveur. Sail your seas and be happy. You’ll be missed by a lot.

Luv ya!

Mais je suis encore en vie. 

Bientôt sur vos moniteurs, un beau billet tout neuf!

You rock et « Tu roche (rush) », ça ne veut sacrément pas dire la même chose.

Cette semaine, j’en sais quelque chose… L’avantage, c’est que les journées passent vite. Très vite.

Écrire un billet sur un blogue, truffé de préconceptions et de préjugés, qui met tout le monde dans le même panier, c’est correct.

Réagir aux préconceptions et préjugés, apporter un point de vue pour nuancer, ça l’est pas. Surtout pas quand on ose dire et redire qu’on le fait, pas tant pour soi que pour ceux et celles à la place desquels on se met, ceux qui voudraient bien dire ce qu’ils pensent mais qui n’osent pas, soit parce qu’ils ont été la source des moqueries toute leur vie et qu’ils ont perdu la drive de répliquer, ou bien parce qu’ils ne pensent pas que ce qu’ils diront sera entendu, ceux qui se disent que ça ne vaut pas la peine… Ceux qui sont ce que moi je ne suis plus. Oui, je réagis, parce que la bêtise humaine me donne des poussées d’urticaire. Le sacro-saint deuxième degré au nom duquel on se permet de dire tout ce qui nous passe par la tête, pour prétendre ensuite qu’on veut être drôle, y’a des limites à en abuser.

Les blogueurs et blogueuses qui font l’apologie de pitounitude ont le droit de dire ce qu’ils veulent des gros, tant que ce sont des arguments qui ouvrent la porte aux moqueries et aux méchancetés.  Mais faut pas répondre, par exemple.

Eille… d’un coup qu’on se ferait dire qu’on est intense!  Méchant défaut!

I rest my fucking case.  Le monde est con, il aime l’être, ben qu’il le reste!

Beu-bye le chômage. Y’a au moins une entrevue que j’ai passée, dans le sens de réussir.  On m’offre le salaire que j’ai demandé, 3 semaines de vacances dès la première année, avantages sociaux, régime de retraite collectif et quelques autres considérations.  Dans mon domaine.  Je commence lundi prochain.

Et la cerise sur le sundae : pas de pont à traverser.

Amen!

Ouain, pis???

Pour avoir révisé de nombreux textes traduits par des traducteurs Z’Universitaires, je sais très bien que ce n’est pas nécessairement une référence.   Tsé, quand on sait que les profs qui y enseignent le français ont eux-mêmes de graves lacunes à ce niveau, faut pas espérer de miracle!

Bill, mon ancienne tête de turc, est allé à l’université, et il est l’un des commenteux de blogues qui écrivait tellement mal que des fois, il fallait lire à haute voix, pour comprendre…

Aujourd’hui, j’ai eu une preuve supplémentaire de ma théorie.  Patrick Molinari, qui commentait la nomination de Christian Paire au poste de directeur du CHUM, tel qu’entendu à RDI : « M. Paire a dirigé plusieurs grandes opérations d’intégration d’établissements. Il a une connaissance très approfondie des missions, des cultures et des défis de gestion des centres hospitaliers universitaires, et c’est exactement ce à quoi nous avions besoin de. » Textuel, je le jure, votre honneur! Sacramaille, les oreilles me frisent encore!!!!

Ce qui fait que le prochain qui me demande si j’ai un bacc. ou un maîtrise lorsque je postulerai pour un poste en révision… Watch out!

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